Hôtel des Roches Noires

Livret, Françoise Cadol ; Musiques, Stéphane Corbin. Mise en scène Christophe Luthringer. 

Avec Olivier Breitman, Françoise Cadol, Stéphane Corbin ou Grégory Veux, Arnaud Denissel, Christian Erickson, Gaëlle Pinheiro ou Vanessa Cailhol, et Ariane Pirie

Création Janvier 2012– Vingtième Théâtre
Festival D’Avignon 2012 – Tournée Nationale et Internationale

L'Hôtel des Roches Noires

Résumé

« Il y a quelques années, j’ai visité l’ancien hôtel des Roches Noires à Trouville. Le hall était vide et magnifique. Quelques fauteuils, des grandes fenêtres sur la mer, un vieux téléphone à fiches, un ascenseur de la même époque, et de chaque côté, une porte battante. Malgré l’espace vide, l’endroit était “chargé” ! Chargé du souvenir de tous ses “clients”, de leurs espoirs, leurs rires, leurs douleurs, leur vie. Pendant tout le temps où je suis restée dans le hall, j’ai senti les portes sur le point de s’ouvrir pour laisser passer leurs fantômes. Je n’avais encore jamais écrit sur de la musique et c’est en écoutant les propositions de Stéphane que les émotions des personnages m’arrivaient et s’imposaient. Bien sûr, on en parlait ensemble, on voyait des ombres, on entendait des murmures, des souffles, des rires, mais grâce à la musique, j’ai entendu des mots, des bouts de dialogues comme des bouts d’étoffes pour les habiller. »

Françoise Cadol

« Il y a quelques années, j’ai visité l’ancien hôtel des Roches Noires à Trouville. Le hall était vide et magnifique. Quelques fauteuils, des grandes fenêtres sur la mer, un vieux téléphone à fiches, un ascenseur de la même époque, et de chaque côté, une porte battante. Malgré l’espace vide, l’endroit était “chargé” ! Chargé du souvenir de tous ses “clients”, de leurs espoirs, leurs rires, leurs douleurs, leur vie. Pendant tout le temps où je suis restée dans le hall, j’ai senti les portes sur le point de s’ouvrir pour laisser passer leurs fantômes. Je n’avais encore jamais écrit sur de la musique et c’est en écoutant les propositions de Stéphane que les émotions des personnages m’arrivaient et s’imposaient. Bien sûr, on en parlait ensemble, on voyait des ombres, on entendait des murmures, des souffles, des rires, mais grâce à la musique, j’ai entendu des mots, des bouts de dialogues comme des bouts d’étoffes pour les habiller. »  Françoise Cadol

Extrait musical

extrait de chanson (Paroles: Françoise Cadol, musique : Stéphane Corbin)

La presse en parle

« Une fantaisie néo-gothique chantée tout en finesse. Il y a du Tim Burton et du romantisme à la Mankiewicz dans cet Hôtel des Roches Noires. » Le Monde

« Un spectacle musical drôle, vif, poétique et délicieusement gothique, servi par des comédiens-chanteurs absolument épatants. Venez et revenez voir ces revenants ! » Le Canard Enchainé

« Quelle belle surprise ! Ce spectacle musical nous a fait littéralement fondre de bonheur ! » Pariscope

« Cette comédie musicale fantastique, mise en scène avec inventivité par Christophe Luthringer, possède un charme rare. Les comédiens, en artistes complets possédés par leurs rôles, se donnent corps et âmes à ce spectacle drôle, virtuose et nostalgique qui vous hantera longtemps » Paris Match

« Quel bonheur que ce spectacle musical made in France, tourbillon de drôlerie, de tendresse et d’émotion ! Bientôt culte ! » Le journal du Dimanche

« Une fantaisie néo-gothique chantée tout en finesse. Il y a du Tim Burton et du romantisme à la Mankiewicz dans cet Hôtel des Roches Noires. » Le Monde

« Un spectacle musical drôle, vif, poétique et délicieusement gothique, servi par des comédiens-chanteurs absolument épatants. Venez et revenez voir ces revenants ! » Le Canard Enchainé

« Quelle belle surprise ! Ce spectacle musical nous a fait littéralement fondre de bonheur ! » Pariscope

« Cette comédie musicale fantastique, mise en scène avec inventivité par Christophe Luthringer, possède un charme rare. Les comédiens, en artistes complets possédés par leurs rôles, se donnent corps et âmes à ce spectacle drôle, virtuose et nostalgique qui vous hantera longtemps » Paris Match

« Quel bonheur que ce spectacle musical made in France, tourbillon de drôlerie, de tendresse et d’émotion ! Bientôt culte ! » Le journal du Dimanche